Écris-moi une fable...

Je vous propose un petit jeu:

Je propose une image, vous écrivez une fable inspirée de celle-ci.

À vos plumes!

Première image:

Un soir de décembre six invités furent conviés
Un soir de décembre sept pommes confites furent cuisinées
Tout le monde se régalait de ce somptueux repas
Tout le monde sauf un, mais il ne le savait pas
Lorsque six pommes furent englouties
L'hôte se leva et de vive voix dit :
La lumière éteinte et ce sera le signal
Le chanceux pourra continuer son régal

La lumière tomba. Quelques toussotements. Des bruits de fourchettes! Un cri!!
La lumière fut et au grand étonnement. Cinq fourchettes puis,
une main ensanglantée.

On ne saura jamais si cette sixième main, elle, aurait partagé.


P.S. Vous pouvez participer à plusieurs par image hein, c'n'est pas interdit!! ))
Je compte m'y essayer dès demain!

À tous, Franck dit vrai... personne n'oblige qui que ce soit à exposer ces idées. Par contre, ce serait vous mentir à vous même que d'avancer le fait que vous n'avez pas d'insatisfaction... nous en avons tous.. et la preuve et que nous sommes humains.
participez, ça fait du bien !

"manger avec six fourchettes, ça me donne l'impression d'être moins "tu seul"...," se dit Philibert en attaquant son blanc d'oeuf.

0 je me conscientise un peu, je vais bientôt être, ou je vais n'être (ou naitre) que bientôt.
1 je suis
2 je doute,je dualise
3 je relativise,je conçoit
4 je sububdivise et me lève...
faut peut-être croire qu'à éden ils sont 5 à avoir croquer la pomme!

Voué-tu mon ami, c'te pomme là a l'aura vécu la plus grande partie de sa vie dans un ârrrbre
mais pas n'importe quel ârrrbre, le plus grand des ârrrbres!
cel-là qui aura vu son feuillâge dépâsser même les nuâges,
cel-là qui fasa aaauuuuu moins 5-6 cents kilomètres de y'haut!
ça c'est y'haut en sivoupla!

mais comprendras-tu mon ami, qu'avant qu'a tombe à terre,
aura fallu qu'a résiste aaauuu moins à 5 des saisons les plus connues icite-dans!
j'aura nommé l'automne; c'étions la saison des pommes
ni trop sec, ni trop frette, ink assez pour qu'a puisse prendre goût au vol plané
après ça, vint l'hiwer; pis tu-seul sait qu'par icite les temps sont durs!
a l'aura eu beau vouloir se réchauffer, qu'sa chair fut tout autant gelée
c'est sur qu'sa plure commença à s'effriter, pis qu'par condensation, son jus dev'na plus pur, plus alcoolisé
évidement, l'printemps aura été plus plaisant; commençant par la dégélation
celle de ses sens qui lui redonna de l'essence... pis à s'auto-goûter, en avait pour un temps à festoyer!
l'été, trop beau, trop chaud; heureusement, le feuillâge était rev'nu d'son voyâge pis l'ombrâgeait un peu

PAF! enfin tombée à terre... sixième saison; le frégidaire
toutes les raisons d'retourner en l'air, plutôt qu'de finir dans l'assiette
entourée de 6 fourchettes